Adressée à un responsable E.D.F. de Vierzon, ce document précise les attributions de Pierre Déjean dans la zone occupée et donne quelques “directives” pour la relance des activités “discrètement d’abord puis au grand jour“.
Il semble que, dans cette période, l’interdiction n’ait pas encore été édictée par les autorités d’occupation. Par la suite, ces activités sont devenues plus… clandestines :