On peut noter l’affirmation que « le vrai scoutisme tel qu’il est pratiqué et enseigné aux Éclaireurs de France est absolument né viable en France » mais qu’il existe « des conditions spéciales à chaque pays, à leur mentalité propre »… On retrouve ici, à la fois, le questionnement de B.P. qui n’était pas sût que son scoutisme soit adapté aux pays « latins » (voir le témoignage de Georges Gallienne) et l’affirmation, présente dans le Livre de l’Éclaireur, de la nécessité d’une « adaptation ».
Il est amusant de constater que, un an seulement avant la guerre, c’est au Roi de Prusse que l’on emprunte une expression : « de braves gens », ni « bataillons scolaires », ni « imitation servile et anglicisme » !