En 1947, il a pour but de préparer le Jamboree :
Au passage, une « cour d’honneur » traite un cas :
Il est bien précisé, avant signature par tous les chefs réunis : « Les chefs t’assurent qu’ils séparent totalement la question responsabilité devant le Mouvement de la question personnelle et qu’en toutes circonstances leur attitude restera inchangée ».
Un nouveau camp de H.P. en 1948 :
D’autres événements :
En février 1948, dans une lettre du Commissaire de province (qui a de graves problèmes personnels de logement, c’est l’essentiel de la lettre) on trouve la question suivante :
» Ton district a-t-il adhéré à la Ligue de l’Enseignement. Sinon, fais vite. Je t’enverrai dans la semaine (une) circulaire. »
Cette question semble indiquer que le choix des adhésions à la Ligue était laissé aux districts (ce qui semble contradictoire avec la notion d’association nationale, mais également avec le fait que les E.D.F. n’ont pas adhéré à la Ligue de l’Enseignement. Point à éclaircir ?
Toujours en 1948, une fête est organisée par les « éclaireuses aînées » – dont il est question pour la première fois – et les routiers sur invitation du « clan E.S.F. ». L’en-tête reste « Éclaireurs de France » :
En 1949, une rencontre « interassociations » :
En 1949, les EDF participent à l’organisation d’une rencontre « interorganisations de jeunesse en plein air ». Pierre Wilmes en est le responsable et sa circulaire ne semble pas extrêmement optimiste en ce qui concerne les comportements des participants :