1939 – 1945
L’engagement
dans un contexte difficile
Questions pour aujourd’hui
Résumé (rapide) de l’ouvrage « Une jeunesse engagée »
Présentation à l’occasion des rencontres « Transhumances » à Bécours en août 2011
* La période :
– 1939 : le pacifisme / le fascisme / la guerre / la défaite,
– 1940 : l’État Français / les lois d’exclusion / la France Libre à Londres,
– 1941 : les débuts de la Résistance / le maintien des activités,
– 1942 : les déportations / l’interdiction des E.I.
– 1943 : le S.T.O. / les maquis / Alger.
* L’État Français :
– les lois d’exclusion,
– l’interdiction du scoutisme en zone occupée,
– la politique jeunesse du régime et la façade de coopération.
-> les réponses par l’engagement :
L’organisation d’activités clandestines en zone occupée
– le rôle de Pierre Déjean, déporté et assassiné à Mauthausen,
– l’exemple de Troyes.
La participation à la Résistance intérieure :
– maquis : Jean Estève et les « maquis écoles »,
– choix individuels : agents de liaison, agents secrets, …
– choix collectifs : clans (Grenoble, Quimper, …)
L’aide aux Juifs pourchassés :
– accueil dans les familles : Toulouse, Vichy (équipe nationale), …
– aide à « la Sixième » : Lucien Fayman.
Les relations avec le gouvernement d’Alger
– contacts dès 1943 (André Basdevant),
– rencontre avec J.P. Fraval,
– participation à la réflexion du C.N.R. sur la formation du citoyen.
* Un résumé par Raymond Aubrac, ancien E.D.F. :
« Respect de l’autre, quels que fussent son origine, son milieu, ses croyances »
* Après la seconde guerre mondiale, autres occasions d’engagement :
– décolonisation, guerre d’Algérie,
– racisme, négation des atrocités, génocides,
– injustices sociales…
–> engagement = réagir quand la situation l’exige
mais aussi être vigilant pour qu’elle ne l’exige pas : INDIGNEZ-VOUS ?