Rechercher

1971.11 : le fonctionnement « démocratique » du Mouvement

Finances et investissements régionaux :

Les années 60 ont été celles des investissements, subventionnés par les services de la Jeunesse et des Sports à hauteur de 40 % et par les caisses d’Allocations Familiales à la même hauteur. Restait à trouver le complément et à assurer les frais de fonctionnement courant des équipements.

La région de Paris, sous l’impulsion de René Alauzen, commissaire régional jusqu’en 1967, a fait le choix de trois lieux d’activité :

– dans la forêt de Sénart, un lieu d’accueil de week-ends, stages et petites vacances pour l’ensemble des groupes de la région ;

– en Corrèze, un lieu de camp et de stages plus particulièrement adapté à la branche éclaireurs, au lieu-dit Cautine ;

– en Mayenne, un lieu de camp plus particulièrement adapté à la branche Louveteaux, à Sainte-Suzanne

en plus du local parisien (Michel Peter) et de celui de Saint-Denis. Le groupe de Meudon a ses propres investissements, gérés en direct par l’échelon national (ils n’apparaissent pas dans les comptes régionaux).

 

La région utilise également, dans la Creuse, le centre de rencontres du Fieux appartenant à l’association Loisirs Éducatifs de Jeunes Sourds qui y organise des camps et des stages en coéducation sourds / entendants.

Nous ne reprenons pas ci-après le détail des comptes de l’année mais il nous a semblé intéressant de conserver la présentation « pédagogique » qui en est faite par Henri Vacher, ainsi que le bilan régional arrêté en 1971 ; rappelons que la décision d’intégrer aux comptes généraux de l’association tous ceux des échelons territoriaux n’est pas encore mise en application à cette époque :