En 1913, Nicolas Benoît intervient surtout auprès d’André Chéradame, devenu président des E.D.F., pour des questions d’organisation, en particulier pour le détachement du Colonel Royet (l’auteur du premier manuel de l’éclaireur) et divers autres contacts, justifiés par la qualité de l’action entreprise : « Aucune autre association en France n’a un plan d’action aussi pratique et aussi large. Aucune autre ne peut prétendre obtenir pour le relèvement de la France des résultats aussi durables et aussi vastes que ceux que nous obtiendrons si nous avons la sagesse de nous organiser solidement. »