La promesse dite « alternative », avec ou sans « Dieu », apparaît dans « Le livre de l’éclaireur » des Éclaireurs de France dès janvier 1912.
En ce qui concerne le scoutisme féminin, elle est adoptée dès 1916 par le groupe d’éclaireuses du quartier « Naples » à Paris, d’origine protestante (U.C.J.F.) :
Le principe de la promesse alternative a fait l’objet de discussions à plusieurs reprises au niveau des instances internationales du scoutisme.