1940.12 : Morts pour la France et prisonniers
1940.11 et 12 : Présentation des trois centres de formation des cadres « au service de l’entr’aide nationale des jeunes »
« Aujourd’hui deux grands services nous sont offerts »… apparemment par le nouveau pouvoir qui les a installés rapidement : le Mouvement semble s’engager dans des actions de formation dépassant les cadres habituels, en direction de jeunes « n’ayant jamais appartenu à un Mouvement de jeunesse », « jeunes ouvriers ou manœuvres ».
1940.12 : Pierre François propose un poème de Noël
1940.11 : Au camp de l’Oradou, la création du Scoutisme Français
Avec « le plus grand désir d’aboutir à une union réelle, dans la mesure où elle est actuellement possible ». Cette définition contient deux affirmations : une union réelle, peut-être pour prendre le relais d’une structure qui ne répondait pas à cette définition, et actuellement possible, dans un cadre apparemment nouveau.
1940.10 : Une page pour les prisonniers, les blessés et les morts pour la France
1940.10 : L’organisation du commissariat national et un projet de conférence du scoutisme français, dans un contexte nouveau
Deux membres de l’équipe sont prisonniers et un partage est nécessaire entre zones, occupée et non occupée. Le Mouvement va renoncer à sa forme fédérative…
1940.02 : Attention à la contagion…
Nouvel éditorial de Vieux Castor, un peu en forme de leçon de morale, à destination de ce mode « peuplé à tous les degrés de l’échelle sociale de gens fiévreux et mécontents »… « À la contagion de la lâcheté, les Éclaireurs veulent opposer la contagion du devoir ».
1940.01 : Et encore un chant pour le matin…
1940.01 : Morts et citations « au champ d’honneur »
1940.01 : Et voici que nous sommes en guerre…
Cet éditorial du Chef, signé par Vieux Castor, décrit successivement l’impression première – « Nous avons d’abord été comme assommés » – et la nécessité de se ressaisir – « Nous sommes toujours prêts ».