Quelques mois plus tard, un article de chef de bureau des Mouvements de Jeunes à la Direction de la Jeunesse précise la « position des Mouvements de jeunesse » : « Le secrétariat général de la Jeunesse a dû choisir rapidement et, dès le premier jour, il a repoussé la solution du mouvement unique, comme contraire à l’esprit du nouveau régime, qui est celui de la France traditionnelle. (…) On a appelé « pluralisme » la solution adoptée »…
Avec « un triple critère au choix des Mouvements : ne seraient conservés que ceux dont la spiritualité était un des éléments essentiels du patrimoine français, ceux dont la base sociale correspondait à une des grandes composantes de la Société française, ceux enfin dont la méthode pédagogique caractérisée avait donné, dans le passé, des preuves de sa valeur ». Et une conclusion : « Que le Scoutisme français, premier Mouvement agréé, continue dans sa ligne avec autant de succès que par le passé, qu’il ouvre aux autres la nouvelle soie avec autant de bonheur ! ».