L’éditorial de Pierre François est une vigoureuse mise en cause de ce « régime de bachots, examens, concours et autres triturations » produisant « un beau choix de corps mal foutus et de regards éteints ». « Notre Mouvement doit prendre position et combattre ce mal »… car finalement… « L’essentiel est que toute activité scoute devienne une véritable fête de l’esprit »
Mais aussi, besoin de … relâche, dit Pierre Svenderichin à la branche Éclaireurs : « Aurions-nous oublié, présomptueux que nous sommes, que si Dieu créa le monde en six jours, il se reposa le septième ? » … ce qui conduit à… « oublier un peu le scoutisme ». Avec une conclusion définitive : « Et si nous parlions littérature, maintenant – ou économie, ou musique, ou cuisine » ?