Cette lettre de Pierre François, corrigeant avec d’excellents détails un projet de compte-rendu de réunion, aborde efficacement ce qui est, en réalité, le fond du problème de la crise que vit alors le Mouvement.
Cette lettre atteste l’importance que Pierre François, comme Jean Estève, accorde à la nécessité d’une nouvelle définition du Mouvement tenant compte de la totalité de ses composantes mais ne se séparant pas de l’essentiel : la notion de contrat, certes, mais également – et peut-être surtout – l’importance du choix de l’action « éducative » car « nous croyons à la vertu de l’éducation pour transformer l’homme et la société ».