André Lefèvre y voit « l’opinion du public » et l’occasion de sortir de « l’incompréhension dont le scoutisme était l’objet dans certains milieux »… incompréhension sur plusieurs points, le bénévolat, la préparation militaire, le manque de confort, la tenue…
Avec un retour en arrière qui ne refuse pas l’autocritique, mais surtout une leçon pour l’avenir pour « ne pas enfouir au fond d’un tiroir le précieux talisman »… et lancer une grande campagne d’information puisque : « la chaleur et l’intelligence de notre propagande seront de nouveaux garants de notre confiance scoute et de notre désintéressement ».