Moins de vingt ans après la création de notre scoutisme, le « métier de chef » a un risque de « ostréification », c’est-à-dire de routine qui prend le relais de la « grande flamme » initiale car « autrefois, de mon temps, le monde ne marchait pas ainsi »…
Le sujet est développé sur plusieurs pages par « le gardien des légendes qui en conclut que, au lieu de s’inspirer de la vie des huitres, il vaut mieux imiter celle des serpents qui, de temps en temps, font peau neuve ! « Notre méthode est loin d’être parfaite (les résultats ne le montrent que trop), mais le Scoutisme a fait faire à l’éducation un pas de géant, je vous en supplie, ne l’arrêtez pas »… Et… « c’est à Cappy que l’on va faire peau neuve… ».