1948 : Un Cappy Éclaireurs
… itinérant dans l’Est de la France, raconté et illustré par André Prochasson
1950 : les Éclaireurs Français en Métropole et en Algérie
Peu implantés en France métropolitaine, les Éclaireurs Français ont continué leur activité en Algérie jusqu’à l’indépendance et la création du Nouveau Mouvement
1920 : L’évolution des Éclaireurs Français
Les débuts du scoutisme ont vu la création de deux associations non confessionnelles, mais les Éclaireurs Français n’ont pas connu, en métropole, le développement qu’ont connu les Éclaireurs de France.
1920 : L’évolution des Éclaireurs Français
Les débuts du scoutisme ont vu la création de deux associations non confessionnelles, mais les Éclaireurs Français n’ont pas connu, en métropole, le développement qu’ont connu les Éclaireurs de France.
1947 : Les Éclaireurs Français mettent en place la coéducation
Les Éclaireurs Français, l’une des trois associations à l’origine de la création des Éclaireuses & Éclaireurs de France en 1964, ont mis en place la coéducation dès 1947 en Algérie
1913 : Un « journal scout »paraît à Reims
Une belle présentation des activités dans les toutes premières années de notre scoutisme, à Reims et aillleurs
2011 : Lucien Fayman, E.D.F. puis E.I., avait relu « Éclaireurs »
Responsable E.D.F. à Toulouse ayant choisi les E.I. en 1940 « par appartenance et fidélité » après parution des lois raciales, Lucien Fayman nous a donné il y a quelques années un texte de réflexion sur le sujet « laïcité dans le scoutisme ».
1950 – 1960 : Spiritualité et laïcité des Éclaireurs de France
Si, dès leur création, les Éclaireurs de France se sont déclarés ouverts à tous, sans référence religieuse, la définition de leur « vie spirituelle » a donné lieu à de nombreuses réflexions et a mis en évidence une évolution.
1939 : à Lille et Lomme, les éclaireurs ont d’abord été « municipaux »
Les villes de Lille et de Lomme (Nord) eurent pendant longtemps des sociétés municipales de scoutisme. Il faut manifestement y voir un aspect original du service public d’animation de la jeunesse, prolongeant l’action des patronages municipaux et des sociétés municipales de gymnastique ou de musique. La lecture selon laquelle il s’agissait de scoutisme politique est manifestement inexacte.