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1951 : L’arrivée d’une nouvelle Commissaire Nationale

 Andrée Mazeran-Barniaudy raconte, dans l’ouvrage « Cent ans de laïcité dans le scoutisme et l’éducation populaire », son arrivée à l’équipe nationale Louveteaux et l’évolution de la branche. Elle nous a confié deux lettres de Pierre François, alors Commissaire Général, au moment de sa nomination comme Commissaire Nationale.

1945 – 1948 : Réflexlon, évolution… et problèmes

 Nous avons sélectionné quelques documents qui nous semblent résumer, à la fois, une illustration des difficultés rencontrées par les E.D.F. dans leurs relations avec certains milieux dits « de gauche » et les réflexions qui ont caractérisé cette époque : articles de Jean Estève et Eugène Bourdet, responsables nationaux de la branche Éclaireurs et leurs résultats.

1943 : « Hébergée » à Vichy par les E.D.F.

 «Je suis effectivement la petite fille juive que les Duphil ont recueillie chez eux… ». Ainsi commence la réponse du Docteur Annette Jacob née Dennery à notre sollicitation. Nous publions son témoignage dans son intégralité car nous ne nous sentons pas le droit de le réduire pour “aller à l’essentiel”.

Indiquons simplement la fin de cette même lettre : « … et nous sommes tous absolument conscients que ma famille et moi-même devons la vie aux Éclaireurs de France ».

1932 : Le fondateur du scoutisme définit notre laïcité

« Notre but est d’éduquer la génération future pour en faire des citoyens utiles ayant un point de vue plus vaste que jadis et, par-là même, de développer la bonne volonté dans le monde, par le moyen de la camaraderie et de la coopération, à la place de cette rivalité qui prévaut dans les classes, les religions et qui a produit tant de guerres et de ressentiments. »

 

1919 : Vers un nouveau départ …

 

Après les toutes premières années de mise en place du Mouvement, alors sous forme fédérale – ce qui explique, par exemple, que le groupe d’Auch appartienne aux « Éclaireurs Gascons » et non directement aux Éclaireurs de France -, le Mouvement va se bâtir entre les deux guerres, essentiellement sous l’impulsion d’André Lefèvre – Vieux Castor – venu du Sillon et de la Mouff, puis de Pierre François.